Nom: | brooklyn yiddish |
Format: | Fichier D'archive |
Système d'exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
Licence: | Usage Personnel Seulement |
Taille: | 54.8 MBytes |
Les sorties de la semaine! Format de projection -. Pour écrire un commentaire, identifiez-vous. Une rencontre Brooklyn Yiddish est inspiré de la propre vie de Menashé Lustig. Le film se situe entre le documentaire et la fiction. Ce n'est pas encore demain que les humains se considéreront tous frères en humanité et en destinée! Politique de confidentialité À propos de Wikipédia Avertissements Contact Développeurs Déclaration sur les témoins cookies Version mobile.
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Un film comique et dramatique en même temps sur la vrooklyn Yiddish de Brooklyn. Assez court, il se laisse voir assez plaisamment. Bien qu'il n'est pas un acteur yidxish, l'acteur principal dégage un charisme sans faille au point qu'on a envie de le voir dans les films actuels. J'ai bien apprécié ce modeste film sur le quartier de Brooklyn et sa communauté juive.
Mais Comment peut-on devenir adulte dans cet environnement aussi cadré aussi normé où le libre arbitre est limité à la lecture de texte sacré! Partir de ce constat le propos du film est exposé.
Le personnage se débat dans ce contexte dans cette impossibilité de grandir.
Brooklyn Yiddish — Wikipédia
Au final comment peut-on élever un enfant dans ce contexte. Au delà de L' artifice cinématographique, focaliser yiedish une communauté juive, ne sommes nous pas qq fois comme ce personnage dans un environnement social contraint par des usages et des normes?
Le film est par ailleurs entièrement joué en yiddish…Joshua Z. Juif non pratiquant Joshua Z. Cette lente et délicate chronique a été récompensée du ylddish de Jury au dernier festival du film américain de Deauville… Amplement mérité….
Brooklyn Yiddish est presque un film documentaire sur le milieu hassidique new-yorkais, une communauté juive traditionaliste, l'histoire est presque accessoire.
M'apparaît un véritable paradoxe: Or le film nous ramène à des traditions ancestrales figées depuis des siècles sinon depuis deux millénaires, traditions qui rendent ces hommes quelques peu extraterrestres. Sommes-nous dans le même monde? En fait cette communauté vit à New-York, le coeur de la modernité mais vit à la manière des juifs de la Palestine de la Bible et de l'Evangile. Si le réalisateur voulait témoigner de cette réalité et ensuite séduire, franchement il m'a inquiété Ce n'est pas encore demain que les humains se considéreront tous frères en humanité et en destinée!
J'ai lu les avis et j'ai une autre vision du film. Pas un documentaire sur communauté hassidique.
Brooklyn Yiddish - la critique du film
Ca c'est en second plan. C'est l'histoire d'une abdication à une vie d'amour sincère, à l'autonomie, à la différence, car prisonnier d'une communauté et par l'amour d'un fils. La thora dit "qu'il n'est pas bon d'être seul", mais lui pense que mieux vaut être seul que mal accompagné. Il pourrait laisser libre court à la vie, à son coeur, et renouer naturellement avec une femme, mais la différence c'est l'exclusion.
A un moment, il a une attirance pour une voisine, et son coeur bat Aussi, je ne pense pas que le personnage principal soit une personne malchanceuse ou maladroite. Je pense qu'il est "inexpérimenté" et a tout à apprendre, comme un bébé qui apprend à marcher. A chacun ses tâches, et quand on s'adonne exclusivement à des prières et rites religieux, le monde extérieur et giddish est une jungle. Quand on pense par la thora et on yjddish s'autorise même pas un avis personnel qui diverge, alors on ne peut faire fasse à des situations qui sortent du quotidien.
Son problème c'est son coeur et son ouverture au monde, cette singularité. Comme il ne parle que Yiddish, même l'anglais est un handicap, et il le parle avec un accent. Cependant, il ouvre son coeur en anglais à des hispaniques. Ils lui citent Jésus, et il réagit par un beau sourire. Le rabin ce serait peut être moqué de lui Les préceptes strictes de la thora manquent de coeur.
La seule échappatoire, c'est la marieuse Je pense que des rabins, organismes juifs modérés, devraient venir en aide à ces hommes. Je ne sais pas yiedish ça s'appelle, mais dans une scène, je trouve très beau l'ustensile metallique qui permet de servir de l'alcool dans plusieurs petits verres à la fois. Non pas qu'il soit inintéressant à suivre -au contraire, l'on ressent beaucoup de tristesse pour cet homme qui se démène au sein d'une communauté bien cruelle envers ses propres membres- mais du fait d'une réalisation classique, sans relief, l'on relâche peu à peu notre attention.
Reste un yiddisu acteur, Menashe Lustig dont le réalisateur s'est inspiré pour dresser le tableau de ce fervent disciple du rabbin Twersky -le Grand Rabbin du Mouvement hasidique- à la fois touchant, désarmant de maladresse et yidish naïveté, l'air perpétuellement égaré de cette communauté si exigeante.
J'ai vu ce film plutôt comme un documentaire sur la communauté brrooklyn hassidique. Un monde en soi avec des coutumes très règlementées par la religion, les rabbins, avec ses codes immuables Tout ce petit monde m'a énormément touchée. De plus l'emploi du yiddish, cette langue pratiquement disparue du fait de la Shoah, m'a ému parce que rare Si vs voulez voir un quasi documentaire sur cette communauté doublé d'une jolie histoire, allez-y.
La brooklynn est toute entière plongée dans une rue de New York, où se mêlent de nombreux hommes, reconnaissables parmi tous du fait de leur tenue traditionnelle juive. Puis, la focale hrooklyn tourne et suit un autre homme, plutôt bien pourvu du ventre, le héros de cet attachant "Brooklyn Yiddish".
Attachant parce que nous sommes à New York qui donne à voir la façon dont la ville réussit à intégrer autant de communautés si différentes, se broolkyn presque à elles-mêmes. Ici ,en l'occurrence, les hommes et les femmes font vivre l'économie du quartier, les traditions rythment le cours de la vie avec une rare intensité, et surtout l'on parle une langue très proche de l'allemand, le Yiddish. Brookljn la tradition ne supporte brookoyn qu'un homme seul élève un brpoklyn, particulièrement notre héros, maladroit et attachant, pas toujours très responsable, mais en tous les cas très aimant.
Le film se situe entre le documentaire et la fiction. Il s'agit d'une belle insertion dans un univers assez peu connu du grand monde, très agité, où les traditions prennent le pas sur les libertés individuelles. C'est aussi un beau récit sur la relation père-fils avec cet homme débonnaire et attachant, et ce fils ambigu comme beaucoup d'adolescents. On passe un joli moment, assez court, dans ce bout du monde à la fois si proche et si loin. Une communauté de juifs ultra-orthodoxes qui veut empêcher un père, yiddishh depuis un an, d'élever son fils Ruben tant qu'il ne sera pas remarié: Menashe rue dans les brancards, s'oppose à Eizik, frère de sa femme, qui veut élever Ruben dans sa propre famille.
Tourné presque entièrement en yiddish, "Brooklyn Yiddish" nous montre le rôle des rabbins et l'importance de la tradition brooklym ces gens là. A noter, par exemple, une femme qui regrette qu'un rabbin ait autorisé les femmes à conduire. Une communauté qui part donc de très, très loin et dont ce film plutôt réussi nous permet de compléter la connaissance déjà acquise avec l'excellent film canadien "Félix et Meira".
Film pouvant paraître languissant par moments mais il se dégage une belle émotion dans les rapports père fils et un climat singulier qui sauvent ce film À voir. C'est un joli film, plein de douceur, de justesse et un brin de tristesse.

Les acteurs sont crédibles. J'ai passé un bon moment. Je vous le recommande. La seule chose que je retiens de ce film, c'est l'amour d'un père pour son fils, allant jusqu'à briser son deuil pour se remarier puisque la tradition religieuse l'a décidée. Mais je ne peux pas dire que l'histoire m'a captivée, sensation un cercle fermé dans lequel on s'ennuie un peu, avec l'envie d'en sortir.
Contrairement à d'autres film traitant du même sujet. C'est sans brookltn ce que veut nous faire ressentir l'auteur à travers le personnage principal, mais effectivement, on est plus dans un documentaire que dans une vraie histoire. On a déjà vu quelques films sur les communautés hassidiques, Juifs orthodoxes, voire ultra-orthodoxes et celui-ci ne sort pas vraiment du lot.
Ce mode de vie qui yiddishh étroitement le quotidien au religieux est-il adapté au monde moderne, n'est-il pas un frein au bonheur et à la joie de vivre? La religion, ici restreinte à la crainte de Dieu, doit-elle dicter chaque pas de la vie du lourdaud Menashé, pauvre citoyen, berné, manipulé par son employeur ou sa famille? On comprend que la réponse ne sera pas identique selon l'approche religieuse de chaque spectateur, quelle que soit sa religion.
Pour notre part, nous sommes restés à la porte de ce film, un peu ennuyé du trop lent cheminement du réalisateur, plus intéressé à nous montrer la pauvre vie d'un petit Juif de Brooklyn - à la limite du documentaire!
Les meilleurs films de tous les temps.
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